28 septembre 2008

Court et rapide

Union de ce blog et du précédent annoncé.

Retrouvez le désormais Nez Gris à l'adresse suivante :

http://www.ramakers.fr/presse

Qui est en passe de devenir :

http://nezgris.ramakers.fr pour plus de confort.
Les DNS se propagent, ça arrive tout bientôt.


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25 février 2007

Aventures d'un bilieux

Evidemment, très peu de commentaires par ici. Le temps que tout le monde trouve le chemin du clavier en considérant qu'il faille encore lâcher le mulot d'une main et le bédo de l'autre. Qu'à cela ne tienne, il y a du moins des lecteurs et voilà qui est ravissant; pour information donc aux plus intéressés, qu'il soit su qu'un nouveau blog voit le jour sous mes doigts crochus.


http://mutin.parano.be


Vous vous y retrouverez aisément, les deux premiers articles y édités sont parmi les derniers d'ici; comme pour vous rassurer d'être arrivé au bon endroit. Oui, la conception logicielle apprtient à ShenZhou en partenariat avec Parano, cette communauté - élitiste par endroits - par laquelle s'est vue également faire la mise en production de « La Frange » dont notre lectorat a déjà pu lire quelques babillardes. Le nouveau blog suscité ne met pas fin à celui-ci, les sujets abordés sont totalement différents. Pour présentation concise, disons que l'autre endroit est un défouloir synaptique aux confins du cynisme et de la satyre. Rien à voir avec les sorties de votre adoré clapoteur de clavier échymosé.

Salutations particulières à Fred et Seb qui sont mes deux premiers lecteurs, affichant cette page régulièrement en espérant du nouveau. Eh bien maintenant, il y a deux endroits à visiter pour ça; de quoi devenir accro.


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29 janvier 2007

Conception « Pizza Hut »

Il faisait doux, pour ceux qui ont des cheveux. L'on était interdit de bonnet pour raison évidente d'esthétisme [dés]éphébisant.

Nu d'appétit, samedi soir récent, l'on - donc moi - se retrouve chalamant déplacé entre cette jolie place du Châtelet, symbole du cosmopolitarisme lutécéen, et le ciel précrépusculaire d'un Paris déjà tout gris. Après hésitation quant à l'endroit qui se verrait attribuer l'honneur de soutenir notre fessier afin, principalement, de nous sustenter bon aise sans trop d'abus, une voix s'éleve au milieu de notre petit groupe pour indiquer, de manière extrêmement éloquente, ce temple merveilleux de la haute gastronomie; le « Pizza Hut ». Bon, on va prendre sur soi; faire comme si l'on était stupéfié par cette idée sans précédent, issue d'un esprit qu'il faudra reconnaître comme étant quelque peu lobotomisé par l'étatsunisation générale du lumpen prolétariat via l'incessant martelage médiatique, donc publicitaire et même souvent pseudo-cinématographique; pensons à Pamela, elle nous attend peut-être bouche grande ouverte. Puis c'est sûr, on aime bouffer du prémâché décongelé et plus ou moins remis en forme sur une semelle enroulée dans un fromage aussi gras que les aisselles d'un lutteur turc, sans les poils ou presque.


Ô joie que ne fusse-t-elle point en entrant au lieudit par l'entrée principale, comme la coutume nous l'impose, pourtant immédiatement au plaisir de cet accueil reconnu chaleureux étant la vision d'un comptoir encombré par une centaine de verres et autres coupes à glace sales. Oui, la plonge est située à l'entrée et le plongeur avait probablement dû être interdit de bonnet tout comme moi, au vu de l'entassement qui se montre des plus odorants et se sent des plus horribles avec ces effluves gerbissives de chocolat noir fondu puis séché depuis plusieurs heures. Il est normal qu'on attende que des places se libèrent, il l'est peut-être moins que l'apprenti-nageur récupère une petite ceuillère pour la passer brièvement sous un filet d'eau avant de la plonger dans une boule de glace toute neuve qui part en salle grâce aux bras faméliques d'un énergumène au pantalon baissé sous ses ersatz de fesses et aux cheveux apparemment gratifiés par quelconque fiante de cacatoès des Galapagos. L'on passera les détails de cartes incomplètes et autres ayant apparemment servi, elles aussi, de pelles à glace en se fiant à leur état collant vanillé.

Une fois assis et après exploration donc très sportive d'une carte qui marche presque toute seule, la serveuse frustrée des zygomatiques s'en vient prendre commande des quatre personnes de notre table, notant méticuleusement le moindre souhait; notre choix, une salade grecque parce que l'on préfère la feta au bloc de saint-doux et que les voiles auriques de goélette ne nous effraient pas, les focs non plus. Les pizzas de nos comparses du moment arrivent, nos feuilles de laitue non; on a bien cru qu'il fallait juste attendre que la salade pousse, et pourtant elle n'est jamais arrivée sous notre vilain nez. Le repas se déroule superbement bien; tout le monde discute, les autres mangent et l'on regarde les assiettes se vider aux alentours laissant pour vierge cette immaculée conception qu'est la nôtre. Arrive la note où il est agréable, tout de même, ne pas retrouver la salade facturée. Entre temps, un serveur a pu apprécier notre courroux vindicatif sans trop broncher; question d'habitude, certainement.


Il est donc temps de payer. Toujours au souvenir perpétuel de l'accueil et du déni, notre consortium de revenchards puise dans ses ressources les plus profondes afin de réunir ce qui ravirait au plus haut point Dame Jacko, des pièces jaunes à gogo. La non-souriante serveuse revient donc vers nous pour cette fois soustraire la dîme et aller la compter dans son coin avant de revenir en indiquant qu'il manque huit centimes; bon, le compte était normalement correct et, pourtant, gentillets que nous sommes atablés, les huit centimes demandés sont ajoutés avant qu'elle ne revienne récupérer la sous-tasse alourdie de caillasse. Son retour nous surprend; les huit centimes qui lui avaient semblé manquer sont cette fois de trop, étrange tout plein. Suite il y a, le préposé à l'encaissement vient alors nous indiquer qu'il ne peut plus accepter les tickets restaurant de deux mil six car ils ne sont, selon lui, encaissables par sa Mère Entité que jusqu'au trente-et-un janvier deux mil sept. Il n'a pas tout compris, l'on demande donc l'intervention du gérant qui tient le même language au détriment de toute potentielle crédibilité quant à ses douteuses compétences managériales et connaissances réglementaires. Déjà assez énervé et ne voulant pas trop nous donner en spectacle parce qu'agréablement accompagné tout de même, un billet est claqué sur la table pour enfin pouvoir s'extirper de cet endroit déplorable empli de personnages dont on se demanderait presque de quoi leur vie est et sera faite dans ces conditions neuropsychologiques terriblement défaillantes. La prochaine fois, on ira chez « Pizza Enio », juste en face, où les ingrédients sont réels et où les salades courent en liberté comme les abrutis du restaurant voisin.

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22 janvier 2007

« La Frange » en orgie


Un dimanche comme il n'en existe que toutes les deux semaines, un soir où le bar se fait plus luxuriant qu'à ses habitudes. Une soirée privée où seuls les habitués et leurs curieux invités restreints peuvent entrer, à moins de vouloir goûter au tazer du patron qui circule machiavéliquement au milieu de la cohue hérétique. L'ambiance est cuir et latex, musique dont j'ignore le style réel par trop peu de culture en la matière, ressemblant à du hard rock très métallique. Comme à son habitude, le lieu est sombre et exigu. On se frôle, on se bouscule parfois, avec un sourire toujours, on trouve enfin un tabouret près du zinc et on s'installe. On observe ce spectacle auquel nous sommes invité en tant que pourtant étranger à ce que l'on nous montre pendant que nous alignons les demis de Amstel au bon plaisir de la barmaid.

Sur un autre tabouret, plus loin, au centre de la pièce.

Une jeune femme brune, regard félin, trône empiriquement au milieu de ses adorateurs du moment. Ensaucissonnée selon les règles élémentaires du bondage, jarretelles bien apparentes et particulièrement éloignées l'une de l'autre, certains s'approchent afin de confectionner quelconque soupe de langue que l'on se glousse d'épier en sirotant notre houblon. C'est vraiment une ambiance particulière, loin d'être désagréable malgré quelques alcoolisés topless (au masculin, les alcoolisés topless... dommage, hein) soit grassouillets soit de toute façon terriblement dépourvus de formes musculaires et sex-appealisantes. Peu importe, les caméras tournent et on nous prend même pour Mr Propre à notre arrivée dans le boudoir avec tout un questionnement filmé sur le choix du citron et ses parallèles philosophiques ou autres principes vasodilatateurs. C'est l'apothéose, la jeune femme brune se retrouve avec une boule rouge dans la bouche, baillonnée comme le goret du nouvel an chinois au milieu de quelques feuilles de laitue éventées. Après, nous n'avons plus regardé et le bar s'est finalement vidé petit à petit. 'Paraît qu'ils étaient calmes, pour une fois. On y reviendra.


Et non, toujours pas de photos. Il faut être sage, d'abord.


Le premier qui me demande de l'inviter, je le fais ajouter dans le dictionnaire en déclamant tous ses travers de porc.


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18 décembre 2006

La vieille du Marché U

Randonnée pédestre de ma rue à la voisine perpendiculaire pour atteindre l'épicerie en arpentant ce dénivelé linéaire tout en faisant fi des tentations tels le kebab et la pizzeria d'en face. C'est sur le chemin de croix soufflé par la bise lutécéenne que le jour vécu alors tinta à mon esprit comme étant un lundi, jour de fermeture du gîte à houblon. Qu'à cela ne tienne, le Marché U de l'autre rive macadamnée fera l'affaire. A peine entré et déjà comblé avec 5 pintes de bière alsacienne quelconque, sans peur du pléonasme, je suis aspiré par une caisse presque vide de monde. Une petite vieille devant moi. Elle est mignonne, avec ses ersatz de légumes sous sachets qu'elle ouvre soigneusement du bout des doigts plutôt qu'en les faisant claquer au gré d'Eole par batiffolage intempestif des bras entiers. Ah mais elle en a oublié, elle revient. Que de jolis sacs ouverts si délicatement. Intemporelle, la petite vieille à la caisse devant moi prend son temps comme pour extrême action d'avant trépas, pragmatiquement réalisée par conséquent. Il lui aura fallu dix minutes pleines pour acheminer ses trois sachets de légumes et oh, des fruits, tomates. Somme du recel, 2,23€.


A présent, je me demande une nouvelle fois à quoi une dame âgée peut bien penser quand elle se rend en grande ou moyenne surface à dix-huit heures, juste à la sortie des bureaux, au moment précis où les jeunes maman et autres VRP se pressent dans l'espoir de rentrer chez eux au plus vite afin de pouvoir se reposer après une longue journée de boulot chiant. Elle qui n'a réellement que ça à foutre de toute cette putain de journée, aller au magasin. Et malgré tout, elle préfère venir faire chier ceux qui lui paient déjà grâcieusement sa pension, aux heures de pointe, pour acheter des conneries dont tout le monde se fout complètement ! Bordel...


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11 novembre 2006

5 ans !


Toujours dans l'événementiel, juste pour dire.


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07 novembre 2006

Amsterdam en 24h !

Petit apparté aux événements Parisiens sur lesquels d'ailleurs j'ai dernièrement fait l'impasse rédactionnelle sans pour autant me priver de m'amuser, assurément. Et le voyage vaut la peine que découvre ce clavier échymosé à accepter mes doigts crochus le tapotant allègrement.

Echappée voituresque aux Pays-Bas, en passant le plus simplement du monde par notre fier Royaume de Belgique, survolé en deux ou trois coups d'essieux flirtant avec Namur, Bruxelles et Anvers (on prononce le "s" dans vos chambres à matière grise, merci). Que ceux qui croient les informaticiens incapables de s'amuser sans un routeur sous les doigts s'en déplaisent, nous étions deux professionnels des réseaux de télécommunication Français à fustiger les longues feuilles dans le pays Européen où l'on trouve la meilleure marchandise à dessein de ralentir son rythme cérébral jusqu'à parfois atteindre l'ancéphalograme du bullot cuit, sans l'opercule de préférence. La flore locale est effectivement des plus attrayantes et pour preuve, il m'a tout de même fallu immortaliser quelques bâtiments de la ville - qui nous accueillait brièvement - tant je pensais être trop édulcoré psychiquement par les effluves délicates de nos soeurs légumes, malgré culture évidente, en découvrant certaines constructions.



Un seul conducteur pour cette épopée puisque mon permis n'est plus de ce monde, autant vous dire que l'unijambiste de la pédale de droite (non, pas Villepin, lui il fume du Domestos) était des plus éreintés au bout de 2000 bornes en roulote louée pour l'occasion. Partis à 18h30 de Paris, c'est à peine trois quarts d'heure après le nouveau jour que nous avons débarqué au port - oui, en voiture et je ne connais pas de monospace amphibie - pour trouver dès notre arrivée un heureux Coffee Shop qui nous a remis le précieux césame. J'ai, qui plus est, perdu le briquet offert en le lieudit; je ne pourrai donc pas faire de publicité gratuite pour l'agréable échoppe qui fermait sur les coups d'une heure du matin donc peu de temps après notre glorieux passage pendant lequel nous récupérions la flamme olympique au bout de bientôt six heures de route.

Sous effets un brin psychotropes, nous voguions dans le centre-ville pour nous repérer et ainsi pouvoir nous y retrouver plus facilement après quelques heures de sommeil. Pourtant, l'homme du moment, conducteur et organisateur, n'avait pas relevé l'adresse idyllique où le lupanar à plumes et ressorts nous attendait depuis la réservation du jour-même. Un appel téléphonique plus tard vers le pays des Lumières et un autre ami nous donnait l'adresse... Du centre de réservation, pas de l'hôtel. Passant du coup et à notre insu unilatéral - dubitatifs petits êtres que nous étions alors - de 14 à 190km pour rejoindre les pénates que nous avons tout de même tenté d'atteindre, nous nous sommes finalement abandonnés aux rêves bleus sur une aire d'autoroute, dans le froid qui nous quittait chaque fois que le contact était remis en route pour faire jouer le chauffage embarqué bien utile en les circonstances.

Petit pipi du matin après l'hémoglobine retirée naturellement de ce qui nous caractérise en tant qu'hommes à part entière, une dizaine de cônes brûlés avec fougue démesurée, et nous étions de retour en banlieue parisienne vers vingt-et-une heures pour y passer une nouvelle nuit blanche, cette fois à coups de jeux vidéos à Choisy-le-Roi, avec autant de brouillard dehors que dedans, à 30 degrés Celsius de différence à peine entre balcon et salon.

En quatre jours, ce sont quand même quatre cent cinquante numérographies qui ont été prises. Bah oui, numérographies parce que la photographie implique l'incrustation de la lumière sur une pellicule prévue à cet effet et avec un appareil numérique, ce n'est pas le cas. Vous irez enfin dormir moins bêtes, pour une fois.


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06 novembre 2006

La Compagnie du 26 Pinel

Nous étions jeudi soir. Et vous ?


Réunis entre amis à l'Indiana de la Place de la Bastille et, quelques pintes plus tard, nous nous dirigions en groupe vers le Réservoir, rue de la Forge Royale. Du XIè au XIè, pas trop de marche. Puis à l'entrée, la foule. Ambiance dithyrambique, un grand échalas se positionnait tout de même à deux pas de la scène, empêchant les plus verticalement concentré(e)s de voir quelque chose sans attraper un torticolis en plein vol muscial.

Tant pis, il y avait toujours le son et surtout l'incroyable vocalise de cette époustoufflante chanteuse qui nous rappelait parfaitement la zigzaguante ligne de l'album « Ni fée ni affaire » avec quelques bonus bien agréables. Une déliquescence à ne pas rater; tant pis pour les nonchalants qui n'y étaient pas, il leur reste au moins le CD.

Les moins prévenus, qui ne connaîtraient donc absolument pas le groupe, seront ravis d'entendre les textes de ce quatuor défiant les plus fines plumes de la verbe prosée, aux multiples alexandrins en passant par divers vers mâchés-coulés pour l'ouïe fine des érudits allocuteurs en transe pendant leur consommation habituelle de houblon doublement fermenté parfois même accompagné de flore fumante sur laquelle espèce nous passerons les détails tétrahydrocannabinolesques.


Avant ça, la pizza et le rosé de « Chez Pierrot », le cynique à sens unique, nous avaient tout de même bien contenu, moi avec mon rizotto. Aussi dans une échoppe îlienne, où le Planteur - se buvant à la paille - coulait à flots à base de goyave et de pamplemousse sans parler de l'indétrônable rhum, l'un d'entre nous s'est finalement mis à l'amende himself en demandant un Perrier menthe. Il fallait le signaler.


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06 septembre 2006

« La Frange » et ses occupants

Reportage démarré à 23h au lieu de 19. Une fois donc sur place, le groupe d'érudits lettrés qu'il aurait fallu rencontrer pour l'occasion s'était déjà éclipsé devant les nuages de tabac fumé, humé, de vapeurs houblonnées, maltées, et de sons variés, éructés, soient disant musicaux au milieu d'une foule qui ne regorgeait guère plus que de patibulaires ivrognes bruyants brâmant inepties aussi laides, sinon pires, qu'eux-mêmes ainsi réunis autour de frèles tables comme des mouches autour d'un régiment léger d'étrons relaxés bien à côté de l'autel de faïence usuellement consacré à Diane, déesse de la chasse (d'eau). Les amis de la bonne lettre et du bon mot s'étaient déjà enfuis de cet endroit lugubre empli alors de personnages trop rocambolesques pour y voir briller quelconque synapse pourvu d'intérêt.

Quelques briseurs de rêve donc, en un endroit qui sera désormais nommé « La Fange » malgré l'accueil sympathique du gardien de zinc qui tentait tant bien que mal d'introduire les deux exceptionnels anachorètes que nous étions, tardivement déplacés, au milieu de ce groupe tergiversant de maladresse civique. Sombre et dépourvu de modèles intéressants, l'endroit ne sera pas immortalisé par l'appareil photographique qui ne s'est réveillé que quelques courtes minutes plus tard, après avoir quitté l'endroit malfamé pour rejoindre un ami et sa petite famille.

Les plus en mal de documentaires animaliers se plairont à passer devant comme l'on croise une cage de primates en rute, l'adresse est publiée tout de même :: 13, Rue Sofia - 75018 Paris.


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30 août 2006

Prévisions pigiques

A venir prochainement, petite ballade en le coeur de Paris pour y découvrir un bar aux pieds du Sacré-Coeur, entre le Marché Saint-Pierre et Barbès-Rochechouart, précisément rue Sofia dans le XVIIIè arrondissement. « La Frange » de son petit nom, a été initialement créé(e) en l'honneur du site communautaire élitiste Parano.be qui, lui, a pour dessein de réunir des artistes de tous horizons et de tous styles, de tous genres, pour faire de l'endroit l'un des plus intéressants en lecture au-delà des rencontres que l'on y fait au fil du temps qui passe et des rendez-vous que l'on se donne ci-et-là entre France et Belgique. Pour l'occasion, ce seront des adorateurs de la langue française, à mon instar, qui se réuniront autour du zinc pour discuter, lire et écrire en s'arrosant de bières.

Aussi par la suite, un article se fera voir par ici au sujet d'un groupe de musique dont le premier album est sorti depuis un moment et pour lequel il m'a été fait l'honneur d'organiser une entrevue avec le leader. Entrevue asynchrone dont l'entiereté sera ainsi relatée par ici au milieu de renseignements divers et variés sur cette oligarchie au talent évident.


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